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La désaccoutumance au tabac 

1 – Introduction

Le traitement délivré dans un centre de désaccoutumance au tabac, répond à un seul objectif : vous aider à cesser de fumer, dans les conditions que nous vous avons promises, c'est-à-dire rapidement et sans ''souffrance''.

CECI EST NOTRE PHILOSOPHIE,

Votre satisfaction nous apportera la fierté de vous voir arrêter de fumer en seulement 3 séances de 25mn sur 3 jours consécutifs, avec toutes les conséquences bénéfiques que vous en tirerez.

2 – Les endorphines: interaction entre les endorphines et la nicotine

Pourquoi le tabac ?

Comment la nicotine agit-elle sur la chimie délicate de notre cerveau ?

Comment devient-on dépendant ?

Quelles sont les conséquences d'un usage prolongé du tabac ?

Les neurosciences commencent à peine à décoder cette alchimie très fine qui constitue le fonctionnement de notre cerveau où les drogues viennent s'introduire en perturbant complètement le délicat système de production des neurohormones et, en particulier, de l'endorphine.

La nicotine : un leurre pour le cerveau

Voici comment la nicotine du tabac agit sur les cellules du cerveau, en créant une véritable dépendance chimique.

Les neurones de notre cerveau sécrètent une substance capable de faire disparaître la douleur et de créer un certain bien-être : il s'agit des endorphines, sorte de «morphines» naturelles qui sont produites lors d'un stress, d'une douleur, d'un effort physique, par exemple à l'occasion d'une marche rapide qui « fait mal » aux muscles du mollet, etc..

Les endorphines sont donc les «calmants» naturels de nos petites douleurs de la vie quotidienne. Ce sont aussi des euphorisants.

Le problème est que, dans la nature, l'on trouve des substances qui, chimiquement, sont très proches des endorphines : l'opium ainsi que les alcaloïdes du tabac en sont des exemples.

La nicotine va prendre la place des endorphines dans les récepteurs des neurones et le drame survient alors rapidement car les neurones, gavés de cette endorphine fictive qu'est lanicotine, n'ont plus besoin de sécréter les endorphines naturelles qui calment les douleurs et engendrent le bien-être : le produit artificiel le fait si bien !

Le cerveau s'ankylose, perd alors l'habitude et produit désormais difficilement de lui-même l'endorphine. Il lui faudra 3 à 4 jours après l'arrêt du tabac pour retrouver un mode de production normal.

Pendant ce temps, le fumeur a moins de protections contre la douleur et ressent du mal-être et, fatalement.... il fume.

La chaîne des neurones dans le cerveau (croquis 1)

Le cerveau est composé de milliards de cellules aux innombrables ramifications appelées neurones. Les neurones sont uniques en leur genre car ils ne ressemblent à aucune autre cellule de notre corps.

Les ramifications des neurones sont appelées axones etdendrites.

Les axones sont les ramifications les plus longues, souvent réunies par paquets, pour former ce que nous savons être le système nerveux.

Les dendrites sont plus courtes et s'embranchent sans contact aux extrémités de chaque axone, mais en restant à portée les unes des autres.

Les axones et les dendrites qui se ramifient et s'entrelacent forment une structure vivante, reliant le cerveau aux racines du corps, en passant par la moelle épinière à travers le corps tout entier.

Les neurones chez un non-fumeur (croquis 2)

Entre deux neurones, il n'y a pas de contact direct mais un très fin espace : le synapse, où les informations sont transmises par des substances biochimiques qui font office de messagers : les neurotransmetteurs.

Les endorphines, qui sont des analgésiques et des euphorisants, en font partie.

Ces endorphines sont émises par un neurone puis captées par les récepteurs spéciaux de l'autre neurone, un peu comme des clefs s'adaptant à une serrure.

Chez un non-fumeur, la production d'endorphines entre deux neurones est naturelle.

Les neurones chez un fumeur (croquis 3)

Les alcaloïdes du tabac ont une composition chimique voisine de certains neurotransmetteurs dont l'endorphine, littéralement «morphine fabriquée à l'intérieur».

Ces alcaloïdes se logent dans les récepteurs des neurones comme de fausses clefs dans les serrures et font donc monter artificiellement le niveau de ces endorphines fictives.

Les neurones étant saturés, ce phénomène bloque les sécrétions d'endorphines naturelles dont le niveau de production redescend.

Pour calmer le manque et les sensations désagréables, le fumeur reprendra une cigarette.

L'intoxication se met ainsi en route car le tabac étant un mauvais substitut des endorphines, il en faudra de plus en plus pour obtenir la même efficacité.

3 – La technique du traitement

Pour chaque séance le traitement consiste à diriger des rayons lumineux, émettant dans les longueurs d'ondes des infrarouges, sur des terminaisons nerveuses très précises du corps humain, en l'occurrence les oreilles, les poignets, dessus et derrière la tête.

Les photons de ces rayons lumineux extrêmement particuliers qui ont demandé cinq années d'expériences et de mise au point, sont absorbés par les cellules de la peau et par l'intermédiaire des terminaisons nerveuses. Ce qui déclenche la production d'endorphines au niveau des neurotransmetteurs.

Le taux d'endorphines naturelles dans le corps va monter à un niveau élevé, supprimant ainsi pour le fumeur la sensation de dépendance et de manque.

Dans un second temps, le traitement agira comme un «électrochoc» au niveau des neurones, remettant en route la production normale et naturelle des endorphines.

Il faut environ trois à quatre jours pour que les neurones reprennent leur activité normale de production d'endorphines, à condition bien sûr qu'il y ait arrêt total du tabac dès la première séance et, qu'en conséquence, les récepteurs des neurones ne soient plus stimulés par la nicotine.